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Ives Administrateur fondateur

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Posté le: Jeu 1 Sep - 21:36 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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Posté le: Jeu 1 Sep - 21:37 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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Posté le: Jeu 1 Sep - 21:37 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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Ives Administrateur fondateur

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Posté le: Jeu 1 Sep - 21:41 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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11 trucs pour vous faire passer pour un millionnaire, même si vous ne l'êtes pas Quiconque veut réussir dans le monde des affaires doit obligatoirement se faire remarquer par ceux qui ont déjà une longueur d'avance. Les financiers, les chefs d'entreprises, les décideurs en sont des exemples. Ils sont généralement accomplis d'un point de vue financier. Celui qui veut s'intégrer au réseau des riches, doit également se comporter comme quelqu'un qui fait partie du petit cercle fermé des millionnaires … Lire la suite
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Posté le: Jeu 1 Sep - 21:42 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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| Rentrée scolaire: 162 élèves sont toujours sans école |
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| Alors que les élèves de l'enseignement primaire ont repris le chemin des cours, la ministre de l’Éducation de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Marie-Martine Schyns, a précisé que «tout était mis en oeuvre» pour régler les derniers cas problématiques.
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Posté le: Jeu 1 Sep - 21:43 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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Posté le: Ven 2 Sep - 07:27 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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Etats-Unis: le calvaire de Brittanee, jetée aux alligators1/30 ParisMatch Paris Matchil y a 1 jour
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 Trump va rendre une petite visite au président mexicain
 Zuckerberg: prix Nobel de l’hypocrisie
Brittanee Drexel, une adolescente de 17 ans, a été violée, tuée et jetée aux alligators en 2009 en Caroline du Sud. Le FBI est revenu sur ce drame la semaine dernière après les aveux en prison d’un suspect.
© Anonymous/AP/SIPA Etats-Unis: le calvaire de Brittanee, jetée aux alligators Les faits remontent à 2009 mais la douleur des proches est toujours aussi vive. La semaine dernière, le FBI est revenu sur le meurtre barbare de Brittanee Drexel après qu’un suspect est revenu sur le crime et donné de nombreux détails depuis sa cellule. Brittanee avait 17 ans lorsqu’elle a disparu mystérieusement. Pendant des mois, les autorités de Caroline du Sud ont tout fait pour retrouver la jeune fille. Mais en vain. Les enquêteurs n’ont jamais su précisément ce qui était arrivé à l’adolescente, jusqu’aux aveux de Taquan Brown, condamné à 25 ans de prison pour plusieurs homicides. Ce dernier a expliqué aux autorités qu’il était présent dans les derniers moments de la victime, indique le «New York Post». Il rendait visite à des amis dans leur «planque» qui leur servait à cacher des armes, des drogues ou de l’argent, lorsqu’il a vu Brittanee. C’est à cet endroit que le téléphone de la jeune femme a émis pour la dernière fois. Selon le récit de Taquan Brown, plusieurs hommes ont abusé sexuellement de l’adolescente, dont un certain Da’Shaun Taylor, alors âgé de 16 ans. Toujours selon les aveux du prisonnier, le père de Da’Shaun Taylor, Shaun Taylor, était lui aussi dans la combine. Mais alors que Shaun Taylor et Taquan Brown étaient en train de parler à l’arrière de la maison, Brittanee a essayé de s’enfuir. C’est alors qu’un des ravisseurs a assommé l’adolescente avec un pistolet et a transporté son corps inconscient dans la maison. Là, Taquan Brown a entendu deux coups de feu. La dernière fois qu’il a vu la jeune fille, son cadavre était attaché et en train d’être transporté ailleurs. Le corps de Brittanee n’a jamais été retrouvé, mais d’après l’agent Gerrick Munoz, plusieurs témoins ont indiqué qu’il avait été jeté dans un étang de McClellanville, aux alligators. Brittanee Drexel avait été vue pour la dernière fois vivante le 25 avril 2009, quittant un hôtel de Myrtle Beach, où elle se trouvait sans l’autorisation de ses parents. D’après un autre prisonnier interrogé par les enquêteurs, Da’Shaun Taylor est venu chercher la victime à Myrtle Beach pour l’amener à McClellanville. Selon Gerrick Munoz, Da’Shaun Taylor a présenté Brittannee à d’autres amis, et cela s’est transformé «en piège pour elle. Elle a été offerte à ces garçons, comme dans une situation de trafic d’être humain». "Il y a un tas d’autre preuves et informations horribles" Le témoignage de l’agent Munoz fait partie d’un dossier présenté à la justice fédérale à l’encontre de Da’Shaun Taylor. Aujourd’hui âgé de 25 ans, il avait été condamné à une période de probation pour un braquage en 2011 d’un McDonald. Les autorités espèrent alourdir ses charges dans cette affaire de braquage avec arme. Mais pour son avocat, il s’agit en réalité d’une tentative déguisée du parquet pour obtenir des informations sur le meurtre de Brittanee Drexel en mettant la pression au suspect. Da’Shaun Taylor a indiqué dans une lettre envoyée au juge qu’il ne devrait pas être à nouveau puni pour ce braquage alors que sa probation est arrivée à sa fin. Pour le père de Brittanee Drexel, l’implication de Da’Shaun Taylor dans la mort de sa fille ne fait cependant aucun doute. L’homme a engagé un détective privé pour suivre Taylor. «Nous n’avons aucun doute sur le rôle significatif de Timothy Da'Shaun Taylor dans l’enlèvement et le meurtre de ma fille», a-t-il écrit dans une lettre envoyée à ABC. «Nous savons qu’il a été vu par des témoins, et pas uniquement des témoins interrogés en prison. (…) Il est en plus connu pour des combats de chiens, pour trafics de drogue, pour des viols sur des femmes (le plus souvent de type caucasien). (…) Et ce n’est que le début. Il y a un tas d’autres preuves et informations horribles que nous voudrions dévoiler au grand public, mais nous n’en avons pas encore les capacités», a-t-il encore poursuivit. Le père regrette également l’attitude des parents du suspect, qui affirment que leur fils est innocent : «Je peux comprendre, en tant que père, que vous devez défendre votre enfant, mais je ne comprends pas que vous défendiez votre enfant alors que vous devez connaître la vérité». La mère de Da'Shaun Taylor le décrit comme un jeune garçon travailleur et aimant. Elle a expliqué qu’il avait perdu un bras lors d’un accident alors qu’il était enfant et qu’il travaille comme mécanicien désormais. Il a un fils et une fille et prend, toujours selon sa mère, soin de sa grand-mère. En juin dernier, les autorités ont offert 25 000 dollars à quiconque aurait des informations sur le meurtre de l’adolescent.
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AUSSI SUR MSN : FRANCE INFO
Affaire Dupont de Ligonnès : un quintuple meurtre ?
Lecteur vidéo depuis : francetv info (Politique de confidentialité)
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Inscrit le: 21 Mar 2010 Messages: 212 802  Localisation: Hermalle sous Argenteau  Point(s): 6 618 587 Moyenne de points: 31,10
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Posté le: Ven 2 Sep - 08:15 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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Charleroi 350 ans : La Bouchonnerie Leclercq, une entreprise familiale carolo Fondée en 1918, la Bouchonnerie Leclercq est le dernier centre en Belgique de finition du bouchon en liège. Cette entreprise familiale qui est aujourd’hui aux mains de la cinquième génération, est... carolo ! Date de publication vendredi 02 septembre 2016 à 08h05 Source : Vivre Ici
Les bouchons Leclercq - Bouchonnerie Leclercq
A l’origine de la Bouchonnerie Leclercq, on trouve un aïeul pâtissier. Durant la Grande Guerre, les restrictions alimentaires imposées à ses clients ne faisaient pas les affaires de Louis Bodart. Le pâtissier s’est alors lancé dans la vente de bouchons, qu’il récupérait dans les cafés avant de les nettoyer et de les revendre.
Ecorces de chênes liège - Pixabay
A la sortie de la guerre, l’affaire était lancée. Louis Bodart s’associa à son beau-frère, Joseph Leclercq et à deux, ils achetèrent une ancienne brasserie à vapeur à Fleurus. La Bouchonnerie Leclercq n’a pas bougé depuis. Avec la génération suivante, les écorces des chênes liège étaient achetées au Portugal puis importées, afin que les quarante à cinquante ouvriers de la bouchonnerie les façonnent.
La Bouchonnerie Leclercq à Fleurus - Bouchonnerie Leclercq
Mais cette main d’œuvre coûte cher et, dans les années ’60, la décision est prise d’acheter les bouchons portugais semi-finis. L’entreprise carolo se consacre à présent à la seule finition de ces bouchons, avec le traitement et l’impression. En 1984, Christian Leclercq reprend l’affaire familiale, un flambeau qu’il passera à ses fils, Cédric et Damien, aujourd’hui à la tête de cette entreprise employant quatre personnes.
Les bouchons Leclercq, une histoire de famille - © Tous droits réservés
Ce dernier centre de finition du bouchon en liège en Belgique occupe 70% du marché du royaume. La production annuelle s’élève à 100 millions de bouchons, adaptés aux bouteilles de vin, de cidre et de bière. Les bouchons Leclercq se retrouvent sur des bouteilles luxembourgeoises, françaises et bien entendu, belges. Aujourd’hui, l’entreprise familiale se diversifie puisqu’un magasin de matériel pour particuliers et professionnels a ouvert. On y retrouve du matériel d’embouteillage, de fabrication de vins de fruits, des pots à confiture, etc. La prochaine fois que vous ouvrirez une bouteille de 75 cl, vous aurez une histoire typiquement carolo à raconter !
Marine GUIET
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Inscrit le: 21 Mar 2010 Messages: 212 802  Localisation: Hermalle sous Argenteau  Point(s): 6 618 587 Moyenne de points: 31,10
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Posté le: Ven 2 Sep - 08:15 (2016) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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Quelle place pour la littérature flamande à l’école? 1 septembre 2016 | Auteur : Kris Vanmarsenille | Traducteur : Guillaume Deneufbourg | Temps de lecture : 2 minutes
Depuis dimanche, une statue du poète flamand Herman De Coninck trône sur la nouvelle place aménagée à l’entrée du zoo d’Anvers. La ville a vu naître beaucoup de grands écrivains et leur rend généreusement hommage en leur dédiant une place, une rue, un monument : Willem Elsschot, Hendrik Conscience, Gerard Walschap, Paul Van Ostaijen, Louis Paul Boon… Tous y ont une statue, soit à leur effigie, soit à celle de l’un de leurs personnages. Et Herman De Coninck ne pouvait pas manquer à cette collection. Les auteurs qui ont disparu, mais dont l’existence perdure à travers les œuvres, méritent notre respect. Et sans nul doute, leur ériger une statue est une bien belle façon de les honorer. Mais pour le reste, que faisons-nous de leur héritage ? Dans le meilleur des cas, nous rééditons leurs ouvrages, nous les enseignons dans les universités, nous les adaptons au cinéma, dans des séries télévisées ou des pièces de théâtre. Mais combien de temps encore tiendrons-nous, si l’école ne fait plus découvrir ces grands auteurs à la nouvelle génération ? Aujourd’hui, des dizaines de milliers d’adolescents entament une nouvelle année dans le secondaire, mais seule une partie d’entre eux aura la chance de découvrir les lettres flamandes. Les écoles n’imposent plus de listes de lecture. L’intérêt porté à la littérature, assurément classique, ne cesse de décliner. Notre héritage littéraire compte ainsi toujours plus de statues et toujours moins de cours de lettres. C’est fort regrettable. En cette époque frénétique des images, des buzz, des blogs, des vedettes Youtube et des chamailleries Facebook, il serait de bon ton de faire découvrir à la jeunesse la force de la littérature et l’importance des grands écrivains sur leur époque. La réalité de l’histoire est différente à travers les yeux de Hugo Claus ou de Louis Paul Boon. Les grands auteurs nous poussent à observer le monde autrement, à nous remettre en question. Ils apportent un nouvel éclairage sur notre société, en la décortiquant, en nous invitant à nous mettre dans la peau de l’autre. Ils nous incitent à porter notre regard au-delà des apparences. Comme par magie, ils nous bousculent, en maniant une langue que nous utilisons au quotidien, mais dont la force nous échappe. Et surtout, ils font partie de notre histoire et de notre culture et ont, à ce titre, posé les fondements de notre littérature moderne. Je me souviendrai toujours d’une anecdote qu’aimait à raconter Herman De Coninck, alors qu’il était encore enseignant dans une école secondaire. Après une leçon de poésie, un élève lui demanda : « c’est à connaître pour l’examen, m’sieur ? » L’écrivain lui avait répondu : « Non, c’est à connaître à vie ». Difficile de trouver plus belle formulation pour illustrer mon propos. Je n’ai rien contre les examens de littérature, pour peu qu’ils contribuent à rendre à notre héritage littéraire la place qu’il mérite. Titre original de l’article: Méditation à l’ombre d’une statue Partager :
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Posté le: Aujourd’hui à 21:49 (2018) Sujet du message: 2 septembre 2016 |
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